BAL DE FIN D'ANNEE

Jack se promenait dans le centre ville de Forks à la recherche des vampires qu'il avait vaguement sentit. Malheureusement, l'odora n'était pas son cens le plus développé. Il pleuvait à l’extérieur et la routé était mouillé. Même si l'eau trempait la chaussé, les pneus de sa Camaro ne faisait aucun bruit. Jack commençait à désespérer jusqu'a ce qu'il retrouva enfin la trace de ces fameux vampires. Il s'arrêta au parc où les traces s'arrêtait et il rentra dans la petite salle où plusieurs humains fêtaient. En remarquant leur age et leur vêtement Jack en déduisit que c'était leur balle de fin d'année. Il regarda tout les vampires et un en particulier attira son attention puisqu'il le fixait depuis sont entré dans la salle. Jack lui fit signe de le rejoindre à l'extérieur et il attendit qu'il arrive. Dans tout la petite famille de vampire, il y en avait qu’un seul qui était avec une humaine et Jack avait remarqué qu’elle n’était pas comme les autres de sa race. * C’est stupide puisqu’elle pourrait tous les maîtres en danger* se dit il. Jack sortit de ses pensées quand le vampire arriva. – Bonsoir cher ami. J’aurais besoin de discuter avec vous. Sa voiture était tout près et Jack alla s’installer du coté conducteur. -Vous venez ? Se serait sûrement plus convenable de le faire à l’écart des humains. Il démarra la voiture et ouvrit la porte du coté passager. (HJ : désolé de mon inactivité)

Par pure manie, je me mordis la lèvre inférieure. J'avais commencé à avoir ce tic à l'âge de cinq ans. Mais parents ont souvent essayé de me faire cesser cela, car ça devenait agaçant. Me mordre la lèvre signifiait que j'étais anxieuse, nerveuse, stressée, et tout le tralala. La question principale. Que faisais-je donc ici? J'avais entendu que bal se donnait dans le parc de la minuscule ville de Forks. J'y étais donc allée, pour avoir rebroussé le chemin, puis revenir. Du perchoir d'où j'étais, ce qui veut dire dans le plus éloigné des arbres, à plus de quatre-vingt mètres de la troupe humaine. Étant nouvelle-née, la délicieuse odeur que produisait les humains m'asseyait de toutes parts. Je résistai par contre. J'avais autre chose en tête, et mes yeux cramoisis étaient bien cachés derrière des lunettes aux verres fumés. Mes cheveux attachés battaient dans mon cou, et je regardais ce qui avait été mon repas un peu plus tôt. J'étais incapable de boire du sang animal, ça empestait trop, et j'avais une soif intense pour du sang humain. C'est ainsi que j'ai attrapé un humain qui faisait de la randonnée, et avait caché son corps pour que les humains ne le trouvent pas, mais qu'un animal pourrait se repaitre de son corps.

Perchée dans l'arbre, je sentis soudain la présence de ceux de la même espèce que moi. Un peu effrayée, je descendis rapidement de l'arbre quand soudain j'entendis un bruit que ne venait nullement de la bande d'humains fêtards.